La lumineuse Elogia!

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Il y a quelques semaines, à travers une initiative réalisée en vue d’accueillir de manière virtuelle les futurs résidents de la phase 2 de la résidence Elogia, j’ai participé à une co-entrevue avec Marlène Béland, la directrice générale du complexe. Animée par le sympathique Marc-Olivier, chef-loisirs de la résidence, la discussion fut empreinte de rires et d’anecdotes, de chaleur et d’humanisme… bref, de tout ce qui, selon moi, définit Elogia.

En gribouillant quelques notes avant ma rencontre avec Marlène ce jour-là, j’avais le sourire aux lèvres. Ça me faisait du bien de replonger dans les doux souvenirs des débuts d’Elogia, il y a 14 ans. Toutes les magnifiques rencontres et les discussions avec les résidents, les échanges avec le voisinage et les détails qui, au fil des ans, ont fait naître en moi ce désir de multiplier le bonheur de vivre à Elogia, remontaient en moi.

Avec l’ouverture officielle de l’agrandissement de la résidence, j’ai eu envie, pour ce billet, de partager avec vous cette entrevue qui m’a fait tant de bien. J’espère qu’elle vous apportera autant de joie qu’elle m’en a procurée. Elogia est née sous une bonne étoile… je me réjouis en avance de sa belle lumière !

Bon visionnement !

Luc Maurice

Retranscription

Marc-Olivier Lacroix, Chef de service – Loisirs à Elogia: Bonjour, résidentes et résidents d’Elogia. Je suis fébrile, j’ai hâte de vous les présenter. Je suis en compagnie de Luc Maurice, président et fondateur du Groupe Maurice, et Marlène Béland, la directrice générale d’Elogia.

Marlène Béland, directrice générale d’Elogia : Bonjour!

Marc-Olivier : J’espère que vous allez bien?

Luc Maurice, présidente fondateur du Groupe Maurice : Oui, absolument, très, très content.

Marc-Olivier : Très content de vous avoir. Je commence, je me lance avec ma première question. C’est venu comment cette idée d’Elogia il y a à peu près de 14 ans de ça?

Luc Maurice : Déjà 14 ans, hein, le temps passe vite. Ayoyoye! J’avais commencé à faire quelques résidences. Moi, je viens de l’est de l’Île de Montréal, Laurier et de Lorimier, Marc-Olivier. Alors, c’est un peu mon coin ici, mon patelin. Je voulais faire une résidence de bon goût dans la région, mais qui n’ait pas l’air d’un hôtel. Une résidence qui soit chaleureuse, près de tout. Tu as le métro à côté. Puis la rue Sherbrooke, quelle belle rue, hein! La rue Sherbrooke, c’est une des grandes rues de Montréal, pour moi.

Alors, l’ensemble de ces choses-là, j’ai pu mettre la main sur un terrain, une parcelle de terrain qui est l’Assomption et Sherbrooke, une belle adresse. Les instances municipales ont été très conviviales, m’ont aidé beaucoup à initier ce projet-là. Le zonage était déjà en place. Alors, quelle belle opportunité pour faire ça.

Marc-Olivier : Bref, c’était écrit dans le ciel.

Luc Maurice : Oui!

Marc-Olivier : Et on parle de Elogia. Comment on arrive avec le nom? Comment est arrivé le nom?

Luc Maurice : Au début, c’est moi qui, très franchement, qui déterminait le nom de chacune des résidences. Après un moment, c’est l’équipe de marketing qui faisait ça. Ils le faisaient avec brio. Elogia : éloge au logis, éloge au logement, éloge à la retraite. Or, c’était juste pour saluer finalement le bonheur associé à la retraite dans un endroit convivial, à côté du Parc des pyramides olympiques, quelle belle pièce de gazon ici, et d’arbres et tout ça. Alors, c’est comme ça que c’est arrivé simplement.

Marc-Olivier : Mon Dieu, maintenant, je vais pouvoir apporter plus de contenu à mes conversations avec les résidents, sachant ça!

Luc Maurice : Souvent, on demande ça.

Marc-Olivier : Et j’ai des sources. Je ne sais pas si c’est vrai, mais j’ai des sources comme quoi vous vous promenez dans le quartier avant de justement construire, et tout ça. Qu’est-ce que vous avez vu dans le coin?

Luc Maurice : Moi ce qui m’intéresse, à chaque fois que je bâtis une résidence à gauche, à droite, c’est important pour moi de sentir la fibre humaine dans le coin. Alors prendre des marches le samedi ou le dimanche, la semaine durant la journée, le soir. Juste voir qui se promène, où, quand.

Petite anecdote. Je me promenais une journée. Je parlais à deux personnes plus âgées sur le trottoir, à la lumière ici. On s’est mis à parler un soir. Puis les deux personnes me disaient qu’elles sont dans ce quartier-ci depuis très longtemps. Et dans les années 30-40, il y avait des chars d’assaut ici, des véhicules blindés que les instances… que le gouvernement fédéral… c’était un champ de pratique finalement, à cause de Longue-Point qui est à côté. Et il y avait toutes sortes d’exercices militaires de véhicules blindés. On est loin de ça présentement. On en convient, hein?

Marc-Olivier : Bien, des fois dans des cours d’exercice avec les résidents, c’est un peu militaire quand même, mais on ne se rend peut-être pas jusqu’au char d’assaut. Et là, on a madame Béland avec nous. Vous êtes à la résidence depuis combien de temps?

Marlène Béland : Depuis 7 ans.

Marc-Olivier : Et, est-ce que vous vous rappelez il y a 7 ans, ça ressemblait à quoi votre première journée?

Marlène Béland : J’ai eu le privilège de venir rencontrer les résidents avant, parce que j’étais déjà au Groupe Maurice dans une autre résidence. Alors, c’était sur la terrasse au 12e étage qui est vraiment magnifique. On a une vue sur le fleuve et les résidents m’avait accueillie là. C’était très touchant. C’est des gens de cœur à Elogia, alors c’était déjà un coup de cœur, c’est le cas de le dire. Elogia, oui.

Marc-Olivier : Donc Elogia qui a fait sa marque, c’est « la belle Elogia ». Et là, on est ici parce qu’il y a une phase 2. C’est venu où cette idée d’une 2e phase?

Luc Maurice : C’est la faute de Marlène. [rires] Non, très franchement, je venais ici régulièrement, je parlais aux gens. Je m’identifie bien à la clientèle d’Elogia qui est une clientèle, je pense, un peu comme moi. Et comme ma famille d’ailleurs. Alors, je venais de temps en temps et puis on me parlait, on me disait « Monsieur Maurice, il me semble qu’on n’a pas beaucoup de salles communes puis tout ça ». Puis là, je me suis mis à regarder tout ça, puis j’ai vu qu’à Elogia, on avait moins d’espaces communs communautaires que dans mes autres résidences. Et ça, ça me fatiguait. J’en ai parlé à Marlène, j’en ai parlé à l’équipe, j’en ai parlé à des résidents. Et là, est venu disponible le terrain attenant à Elogia 1 et je me suis dit « eille, quelle belle possibilité ».

En même temps, je savais qu’il y avait des marchés d’alimentation qui cherchaient à s’installer dans le coin. Alors je me suis dit, si je suis capable de mettre le marché d’alimentation pleine grandeur accessible au public en général sur le même site, et que ça donne accès à toute ma clientèle, pour moi c’est magique d’être capable d’aller faire ses petites courses, d’aller à la pharmacie, d’aller à l’épicerie, au nettoyeur sans aller à l’extérieur.

On vit dans un pays qui s’appelle le Canada puis qui est froid l’hiver. Puis souvent, notre clientèle, bien elle ne veut pas sortir l’hiver. Peur de glisser, peur de tomber, tout ça. On comprend ça. En même temps, si tout est près comme ça, bien ils vont être plus actifs. Et ça amène aussi une certaine normalité d’avoir des gens de la communauté. On vient d’un secteur, on vient d’un petit quartier, bien c’est les mêmes gens du quartier qui vont être là aussi.

Alors, j’aimais cet élément englobant-là et la possibilité d’avoir plus de services, beaucoup plus de salles communes. En bas ici, ça va être incroyable, tous les jeux qu’ils vont avoir, puis les activités. La piscine, la longueur de la piscine. Là, on fait des longueurs de piscine, pas des pataugeuses de 20 pieds, là, tu sais. Alors quelque chose qui a de la gueule, puis pour moi, je me suis dit « eille je pourrais tout faire ça et, en même temps, améliorer toutes les unités de la phase 1, les espaces communs de la phase 1 ». Alors moi, je me dis que j’étais capable de faire d’une pierre trois coups, alors on a sauté sur l’occasion de faire ça.

Marc-Olivier : Et pour renchérir, je m’estime chanceux d’être en charge des activités ici parce que les possibilités, là, il y en a énormément. Énormément. Et ça va pouvoir créer justement ce phénomène de communauté, le village que je pense qui est important pour vous, cette connexion humaine. Donc, bref.

Luc Maurice : Cette connexion humaine, moi ce que j’aime beaucoup, c’est quand les gens se côtoient. On dit souvent que pour vivre heureux, en santé longtemps, bien sûr il faut bien manger, il faut faire des activités, il faut bouger modérément, il faut être discipliné et rigoureux dans nos habitudes de vie, puis il faut aussi socialiser. Pour beaucoup de monde, c’est important de connaître deux-trois personnes.

Moi, je me dis tout le temps, à chaque fois que les gens ont deux-trois amis, notre travail à nous est fait. Ils aiment aller manger, ils aiment faire des activités, ils aiment bouger avec ces gens-là. Alors il y a partage et il y a beaucoup d’études qui disent : quand on est capable de vivre de façon harmonieuse avec des gens autour de nous, on est capable des fois d’être utile aussi d’aider un et l’autre à notre façon, de notre manière, on vit plus longtemps puis plus heureux.

Marc-Olivier : Je suis tout à fait d’accord. Et dans le fond, il y a la phase 2, qui a été décidée. Et pour – là je vais m’adresser à vous, Madame Béland – comment il vous l’a annoncé? Il vous a envoyé un fax, un petit texto? Comment, dites-nous?

Marlène Béland : Monsieur Maurice, c’est un passionné. Alors nous sommes à une fête de Noël où Monsieur Maurice était venu saluer nos employés. Et tout à coup, il y a plusieurs grandes tables qui sont collées une à l’autre et, tout à coup, Monsieur Maurice saute sur une table. Fait qu’on est tous « wow, qu’est-ce qui se passe! » Et Monsieur Maurice qui nous annonce la nouvelle qu’il avait acheté le terrain à côté, puis qu’il faisait une 2e phase. On était wow! Vraiment tous super contents de savoir que ça s’en venait.

Puis, je me rappelle aussi de voir la VP qui était là à côté de lui, qui disait « oh my God! » en voulant dire peut-être qu’il aurait fallu attendre un petit peu avant de le dire. Mais, Monsieur Maurice était tellement enthousiaste qu’on était contents de le suivre dans cette folie‑là, en fait.

Luc Maurice : On est tous un petit peu intense dans ce qu’on fait.

Marc-Olivier : Mais il faut, il faut! C’est ce qui rend les projets merveilleux aussi.

Luc Maurice : Et il fallait se dépêcher. Il y avait toutes sortes d’enjeux où il fallait que je bouge rapidement. En fait, tellement rapidement qu’on a fait les plans… la Ville, comme je vous disais, était très collaboratrice. Ça allait bien. On était rendu au 4e étage dans la construction, puis on s’est rendu compte qu’on avait 50 pieds de terrain vers l’ouest de plus qu’on pensait. Donc on avait mal fait la mesure des plans initial. Ce n’est pas grave. Tant mieux, tant mieux, c’est pas mal mieux que 50 pieds de moins.

Marc-Olivier : Oui, ça c’est sûr et certain.

Marlène Béland : Oui effectivement!

Marc-Olivier : Donc mis à part ça, selon vous Monsieur Maurice, qu’est-ce qui rend Elogia, ce qu’est Elogia? Qu’est-ce qui rend Elogia unique, selon vous?

Luc Maurice : Ouf! Beaucoup de choses. D’abord, qu’on le dise : l’endroit. Hein? C’est tout un beau quartier qu’il y a ici en avant.

Marlène Béland : Oui, très.

Luc Maurice : Tout un beau quartier! À l’arrière, c’est appelé à tout changer. Je vois toutes sortes de plans d’esquisses de la Ville, de l’urbanisme. Ça va tout changer dans les prochains 5 ans. La proximité des services. Avoir un IGA Extra à même la résidence, on ne voit pas ça souvent, là, tu sais. Le métro, Jean Coutu. Le Stade, bien qu’on l’utilise moins pour ma clientèle. Mais au-delà de tout ça, c’est les gens. Vous avez 700 personnes dont les deux tiers viennent de l’arrondissement ou autour d’ici. Plusieurs se connaissent déjà ou connaissent quelques personnes déjà. Alors cet esprit de village-là, de belles personnes qui viennent ici, ça amène une dynamique, une magie un peu différente. Ça va être décidemment la plus grande résidence du Groupe Maurice. Hein Marlène, c’est ce qu’on…?

Marlène Béland : Oui, absolument.

Luc Maurice : Alors pour moi, ça m’inquiétait un petit peu, ça, parce que 600 versus 350, c’est très différent, tu sais. Alors ça amène une autre façon de penser. En même temps, on s’est éclaté un petit peu, puis on a dit : OK, faisons plus d’espaces, plus de choix. Les gens vont avoir toutes sortes de choix, et c’est à eux de décider comment ils veulent occuper leur temps, comment ils veulent meubler leur vie, avec qui ils veulent le faire. Pour moi, il n’y a pas de limite à ce niveau‑là.

Marc-Olivier : Bien, tout à fait d’accord. Et pour se rendre à ce projet sans limite et qu’il soit confortable, bien ça prend toute une équipe. Et Madame Béland, j’ai envie de vous poser la question : qu’est‑ce ça prend pour venir travailler chez Elogia, chez nous?

Marlène Béland : C’est vraiment, il faut vraiment avoir la passion du résident à tous les jours. Parce que prendre le temps de leur répondre, prendre le temps de bien les servir, prendre le temps de répéter, prendre le temps. Prendre le temps de les écouter, je pense que c’est la qualité la plus importante qu’on recherche chez nos gens.

L’exemple que je donne souvent quand je fais des visites avec les gens : on a beau avoir le meilleur serveur qui a la plus belle étiquette en ville, s’il ne prend pas le temps d’écouter le résident qui entend moins bien, ou qui a besoin qu’on lui répète parce qu’il n’est pas sûr qu’il va aimer la sauce, bien c’est peut-être pas la bonne place. On a besoin de gens qui les aime puis qui ont le goût de prendre du temps avec eux.

Luc Maurice : Puis effectivement, quand on a une bonne équipe en place, je n’aurais pensé initier ce projet-là, cette 2e phase-là si je n’étais pas confiant que l’équipe en place pouvait aller de l’avant avec un peu de soutien, un peu de support, un peu d’aide additionnelle, puis de livrer la marchandise avec brio comme je suis certain qu’ils vont faire.

Marc-Olivier : Effectivement. Et parlant d’aller de l’avant, avez-vous un message pour les résidents, les résidents qui sont ici actuellement?

Luc Maurice : Oui, effectivement. Effectivement, j’ai 2 messages à tous les résidentes et résidents qui sont ici, certains d’entre vous depuis près de 14 ans. Le premier message, c’est : merci. Merci parce que, sans vous, je n’aurais pas fait ce produit-là. Sans le fait que vous étiez toujours… c’était toujours presque plein, toujours Elogia, qu’il y avait un dynamisme, que je sentais un qualimètre de bonheur élevé, je ne me serais pas lancé dans cette initiative-là. Alors merci.

Merci aussi à vous toutes et vous tous pour avoir été patients, indulgents, résilients pendant la construction. Beaucoup de changements, déménagements, les salles communes, la salle à manger, tout ça. Je comprends que ce n’est pas facile. Plusieurs d’entre vous, c’est excitant, c’est le fun, ça fait plusieurs gérants de chantier surintendants, et c’est parfait comme ça. Moi le premier, si j’étais à votre place, je serais curieux toujours de regarder ce qui se passe en tout temps. Mais pour plusieurs, ça a été plus difficile, alors je vous salue, je vous remercie de tout ça.

Pour les résidents qui arrivent bientôt, bien écoutez, je vous souhaite, au nom de Marlène, au nom de toute l’équipe, la bienvenue. La bienvenue, puis je salue votre courage. Ça prend du guts, ça prend de l’audace pour quelqu’un de 79 ans de décider de venir ici, de vendre ce qu’il a, post‑pandémie en plein COVID et tout ça, on va de l’avant, on a confiance, ça va continuer d’être bien géré, d’être bien fait, et on va avoir du plaisir dans un contexte où la pandémie se termine. La bonne nouvelle, c’est que tout le monde va être vacciné d’ici un mois, la double vaccination, alors on va pouvoir avoir une vie normale bientôt. Alors je salue votre courage, je salue la confiance que vous nous faites, et je suis persuadé qu’avec un peu de chance, en connectant avec deux ou trois personnes, des collègues comme ça, c’est son mon métier de faciliter les rencontres. C’est ta raison d’être ici.

Marc-Olivier : Oui.

Luc Maurice : Et moi, j’apprécie beaucoup. C’est le cœur, c’est l’âme de la place, des gens comme toi. Et je vous souhaite d’avoir quelques personnes autour de vous avec lesquelles vous êtes bien, je vous souhaite d’être bien. Je vous souhaite de bouger, de faire des choses, de continuer de rester sensible. On est dans un village ensemble, et quand on voit des gens qui, ça va moins bien, qui ont besoin d’un petit coup de main, d’un petit encouragement, des gens un peu plus prompts, alors d’aider à faire en sorte que la vie du village soit agréable, positive et longue pour tout le monde. Merci.

Marc-Olivier : Alors un grand merci, Monsieur Maurice, Madame Béland, de nous avoir offert ce temps pour nous avoir offert ce temps pour nous dire un beau mot. J’ai hâte de vous voir. J’ai hâte de voir que ce soit à la piscine, à la salle à manger, à la salle d’activités. Donc on se voit bientôt, faites attention à vous.

Luc Maurice : Oups, une petite chose par exemple. La meilleure équipe de bowling d’un tournoi, je vous challenge! Quand vous gagnez avec une équipe, on va se faire une équipe contre vous, je vous promets. Bonne journée!

Marc-Olivier : Alors, vous êtes tous témoins à la maison pour la partie de bowling. Et maintenant, on va finir avec un mot de la fin avec Madame Béland.

Marlène Béland : Merci! Écoutez, on a hâte de vous voir. On se prépare depuis des mois. On vous attend avec enthousiasme. Au plaisir de se voir, à bientôt!